10/10/2024
Depuis de nombreuses années, les services de l’État et la plupart des grands guides gastronomiques de l’Hexagone consacrent le travail du chef Bernard Bordaries par la remise de prestigieuses distinctions. Parmi les dernières récompenses octroyées, le patron du Clos Monteils a accroché la médaille du tourisme, échelon or, décernée par le ministre de l’Europe et des Affaires étrangères et du ministre de l’Économie et des finances, puis, le guide Michelin l’a gratifié pour ses recettes bien ficelées autour de la saisonnalité des produits, suivi par le "Gault & Millau Tour", honorant l’impétrant dans la catégorie "Tradition d’aujourd’hui" lors d’une cérémonie orchestrée à Montpellier, en présence de toques, de notoriété nationale. Dans la prochaine édition à paraître début novembre, le guide gastronomique "Gault et Millau", décerne un nouvel accessit à l’un des ambassadeurs de la gastronomie tarn-et-garonnaise les plus primés.
Nouvelle distinction pour un chef globe-trotter
Depuis de nombreuses années, auprès de ce guide, Bernard Bordaries affiche un brillant palmarès, décrochant un 14,5/20 et deux toques qu’il confirme encore aujourd’hui. Cette distinction du Clos Monteils classe à la première place son restaurant par rapport aux autres établissements départementaux. Dans cette quête de l’excellence, le chef tient à associer son épouse Françoise, laquelle officie à l’accueil et au service avec gentillesse et dévouement. Bien avant l’arrivée à Monteils, et l’installation de son piano dans l’ancien presbytère du XVIIIe siècle, le chef a déployé son périple gastronomique auprès des plus grandes tables françaises, telles le Maxim’s de Paris, le Carlton de Cannes ou encore l’Éden Rock du Cap d’Antibes, sans oublier Toulouse et sa région grâce à des étapes aux restaurants Le Séville et l’Azimont. En 1991, Bernard traverse l’Atlantique et exporte son bagage gourmand à Los Angeles, promouvant ainsi la cuisine française. En 1999, le couple s’offre une dernière escale à Monteils. Là, le chef concocte une cuisine inventive autour de produits provenant de fournisseurs locaux avec lesquels le restaurateur est fier d’avoir noué des relations privilégiées. Dans quelques jours, toujours dans la créativité, Bernard innove et surprend avec une nouvelle carte, avec la même philosophie: comment sublimer le produit ? Ainsi, s’affichent au menu, par exemple noix de Saint-Jacques poilées, beurre fumé, purée de céleri ; poitrine de canette, léger parfum d’épices, navets marteaux braisés au cidre fermier ; biscuit aux noix, crème glacée. En fin d’année, la truffe va briller sur les tables du Clos Monteils, avec un menu exclusivement consacré au diamant noir.
Le chef Bernard Bordaries, une nouvelle fois primé
Depuis de nombreuses années, les services de l’État et la plupart des grands guides gastronomiques de l’Hexagone consacrent le travail du chef Bernard Bordaries par la remise de prestigieuses distinctions. Parmi les dernières récompenses octroyées, le patron du Clos Monteils a accroché la médaille du tourisme, échelon or, décernée par le ministre de l’Europe et des Affaires étrangères et du ministre de l’Économie et des Finances, puis le "Guide Michelin" l’a gratifié pour ses recettes bien ficelées autour de la saisonnalité des produits, suivi par le "Gault & Millau Tour", honorant l’impétrant dans la catégorie Tradition d’aujourd’hui lors d’une cérémonie orchestrée à Montpellier, en présence de toques de notoriété nationale. Dans la prochaine édition à paraître début novembre, le guide gastronomique "Gault & Millau" décerne un nouvel accessit à l’un des ambassadeurs de la gastronomie tarn-et-garonnaise les plus primés.
Un chef globe-trotter
Depuis de nombreuses années, auprès de ce guide, Bernard Bordaries affiche un brillant palmarès, décrochant un 14,5/20 et deux toques qu’il confirme encore aujourd’hui. Cette distinction du Clos Monteils classe à la première place son restaurant par rapport aux autres établissements départementaux.
Dans cette quête de l’excellence, le chef tient à associer son épouse Françoise, laquelle officie à l’accueil et au service avec gentillesse et dévouement.
Bien avant l’arrivée à Monteils, et l’installation de son piano dans l’ancien presbytère du XVIIIe siècle, le chef a déployé son périple gastronomique auprès des plus grandes tables françaises, telles le Maxim’s de Paris, le Carlton de Cannes ou encore l’Éden Rock du Cap d’Antibes, sans oublier Toulouse et sa région grâce à des étapes aux restaurants Le Séville et l’Azimont.
En 1991, Bernard traverse l’Atlantique et exporte son bagage gourmand à Los Angeles, promouvant ainsi la cuisine française. En 1999, le couple s’offre une dernière escale à Monteils. Là, le chef concocte une cuisine inventive autour de produits provenant de fournisseurs locaux avec lesquels le restaurateur est fier d’avoir noué des relations privilégiées. Dans quelques jours, toujours dans la créativité, Bernard innove et surprend avec une nouvelle carte, avec la même philosophie : comment sublimer le produit ? Ainsi, s’affichent au menu, par exemple, noix de Saint-Jacques poilées, beurre fumé, purée de céleri ; poitrine de canette, léger parfum d’épices, navets marteaux braisés au cidre fermier ; biscuit aux noix, crème glacée. En fin d’année, la truffe va briller sur les tables du Clos Monteils, avec un menu exclusivement consacré au diamant noir.